Evil : drame captivant autour du mal et du bien (série)

Précédent sa diffusion TV prévue le 28 novembre prochain, les six épisodes de la série « Evil » sont d’ores et déjà disponibles sur arte.tv.

Synopsis : Exclu de son lycée, Erik intègre un internat de la haute société. Mais un groupe d’élèves y perpétue des traditions punitives cruelles avec la bénédiction des enseignants. Erik se laissera-t-il entraîner vers la violence ? Série suédoise adaptée d’un récit autobiographique, Evil décrypte l’implacable mécanique transformant les victimes en bourreaux.

Spirale infernale du mal

« Perpétuer sans fin la violence ou briser la spirale infernale du mal ? Victime à la maison des sévices sadiques que lui inflige son beau-père, Erik (Isac Calmroth, remarquable) est sur une pente glissante, lorsqu’il intègre Stjernsberg, un établissement réservé aux enfants de la haute société scandinave, où un cénacle d’élèves perpétue des traditions punitives cruelles avec la bénédiction des enseignants. Bon élève et sportif émérite, le nouveau venu se laissera-t-il entraîner vers l’abîme ou parviendra-t-il à s’en extirper ? S’inspirant du best-seller autobiographique La fabrique de violence du journaliste suédois Jan Guillou, paru en 1981 et déjà adapté au cinéma en 2003 par Mikael Hafström, Evil décrypte l’implacable mécanique qui pousse les victimes à devenir bourreaux à leur tour. À moins que ces grains de sable salvateurs que sont l’amour et l’amitié ne viennent rebattre les cartes d’une rédemption inespérée. » (c) Arte.

Cette courte présentation proposée par Arte sur son site résume parfaitement le thème exploré dans cette série suédoise adaptée du best-seller autobiographique « La fabrique de violence » du journaliste suédois Jan Guillou. Six épisodes passionnants où la lutte entre le bien et le mal tiraille le protagoniste principal. Avec une reconstitution historique de toute beauté (fin des années 50), « Evil » bénéficie d’un casting impeccable, à commencer par Isac Calmroth dans la peau du jeune Erik. A ses côtés, Thea Sofie Loch Næss et Alexander Gustavsson incarnent avec justesse le camp du bien, tandis que Gustaf Skarsgård, Christian Fandango, ou encore Leon Henzel se montrent terrifiants du côté des bourreaux.

Avec un suspense et une tension savamment entretenus jusqu’à la fin, ce drame suédois en langue allemande se montre captivant sur toute la ligne. A voir sur arte.tv !

« Evil« , réalisée par Erik Leijonborg. Disponible sur arte.tv

Credit photos (c) TV4 AB / SF Studios Production / Arte.

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