Les Meurtres zen : nouvelle comédie noire allemande sur Netflix

Netflix a dévoilé ce jeudi « Les Meurtres zen« , une nouvelle comédie noire allemande tirée d’une saga littéraire à succès outre-rhin.

Synopsis : Quand un avocat de la mafia suit un cours de pleine conscience pour mieux équilibrer travail et vie privée, il découvre de nouvelles stratégies d’adaptation étonnantes, dont le meurtre.

Basée sur le premier tome d’une saga littéraire signée Karsten Dusse, « Les Meurtres zen » suit Björn Diemel, un avocat qui déteste son travail pour la mafia, et qui peine à équilibrer son temps entre vie professionnelle et familiale. Pour tenter de sauver son mariage et passer plus de temps avec sa fille, il entreprend de suivre une session de pleine conscience, où la « zen attitude » trouvée va le conduire… au meurtre. En l’occurrence, celui de son mafieux de patron, avec toutes les conséquences qui en découlent.

Nous n’en dirons pas plus sur la suite des événements… Composée de huit épisodes, cette nouvelle série allemande combine thriller et comédie noire sur un ton plutôt léger. Dans un environnement mafieux plus que dangereux, l’avocat devenu meurtrier applique à la lettre les leçons tirées de son séminaire de pleine conscience. Ainsi, colère, peur, panique ou tout autre sentiment trouvent une réponse dans l’esprit zen de l’avocat.

Créée par Doron Wisotzky, cette nouvelle série se laisse dévorer d’un trait. C’est drôle, parfois absurde (voir la séquence avec la garderie d’enfants), mais l’ensemble fonctionne parfaitement bien. Et quand on sait que la saga littéraire dont est tirée la série comporte déjà cinq tomes, il y a largement matière pour envisager une suite. D’autant que cette première saison se termine sur un cliffhanger.

« Les Meurtres zen« , saison 1 disponible sur Netflix. Avec Tom Schilling (« L’Oeuvre sans auteur« ), Emily Cox (« The Last Kingdom« ), Britta Hammelstein (« The Captain« ), Marc Hosemann (« Crime à ciel ouvert« ), Peter Jordan (« Babylon Berlin« ), Murathan Muslu (« Barbares« ), et Sascha Alexander Gersak (« Un très mauvais plan« ).

Credit photos (c) Netflix.